On dira ce que l’on voudra, mais après quelques centaines de kilomètres avec les oueds (rivières) à sec et une densité de population proche du zéro, c’est bien la première chose qui saute aux yeux. On est loin de la carte postale avec des centaines de kilomètres de sable, c’est plus du cailloux en veux tu en voila.
D’Oujda direction l’oasis de Figuig, assez impressionnant par sa palmeraie qui contraste totalement avec le désert avoisinant. La ville est enclavée autour de la frontière algérienne, frontières fermées suite à l’attentat de Marrakech en 1994. On y retrouve le traditionnel réseau d’irrigation et quelques pistes pour faire le tour de la région. Au niveau logement, la méthode la plus simple est plus ou moins chez l’habitant, demi-pension généralement comprise pour 150-200dr/nuit. Cela permet d’apprendre les us et coutumes tel que le partage du plat de tajine pour l’ensemble du groupe en mangeant à même le plat.
Le panorama du jour :